La plateforme Gramm-R regroupe une série d’unités de recherche ou de chercheurs, issus de différentes universités belges et étrangères, spécialisées dans un ou plusieurs domaines impliqués par le projet. Gramm-R ne constitue pas une super-équipe-unité-groupe de recherche de première affiliation, mais une plateforme, un lieu réseauté où des chercheurs venant de différentes équipes se retrouvent autour de thèmes particuliers. La structure présente un noyau central de collaborateurs, mais qui peut être flexible ; elle allie et réunit participants réguliers et occasionnels.

Partenaires belges : ULB/VUB Bruxelles : Dan Van RaemdonckVUB Brussel : Michel Pierrard, Manon BuysseBastien De Clercq, Marie-Ève Michot ; ULB Bruxelles : Marie-Ève DamarLionel Meinertzhagen ; UGent : Pascale Hadermann, Peter LauwersUMons : Bernard Harmegnies, Myriam Piccaluga.

Partenaires internationaux :

Allemagne : Würzburg : Andrea LandvogtBochum : Wiltrud Mihatsch.

Canada : Sherbrooke : Gaëtane Dostie.

France : Aix-Marseille : José DeulofeuLyon 2 : Hugues Constantin de ChanayNancy : Christophe BenzitounNantes (IRRFLE) : Olga Galatanu, Loïc Fravalo, Abdelhadi BellachhabParis 3 : Jeanne-Marie Debaisieux, Florence Lefeuvre ; Paris 4 : Antoine Gautier, Valérie Raby, Gilles Siouffi ; Paris 5 : Audrey RoigParis 8 : Florence Villoing ; Paris 10 : Marianne Desmets ; Strasbourg : Julie Glikman ; Toulouse-le Mirail : Céline Vaguer.

Espagne : Santiago de Compostela : Laura Pino Serrano ; Vigo/Pontevedra : Carlos Valcarcel Riveiro.

Finlande : Helsinki : Eva HavuAbo (Turku) : Meri Larjavaara ; TurkuAna-Maria Cozma.

Israel : Tel Aviv : Hava Bat-Zeev ShyldkrotHaifa : Silvia Adler ; Bar-Ilan : Maria Asnès.

Pologne : Opole : Fabrice Marsac ; Varsovie : Ewa Pilecka.

Suisse : FribourgFranziska HeynaNeuchâtel : Mathieu Avanzi, Cécile Barbet, Gilles Corminboeuf.

Chacune des unités de recherche locales sera l’interlocuteur pour sa communauté dans le cas de projets locaux. Un comité de coordination sera mis sur pied pour des projets dépassant le niveau local. Il sera composé de :

– D . Van Raemdonck (ULB-CLUB) et M. Pierrard (VUB-CLIN) pour les deux institutions initiatrices du projet ;

– B. Harmegnies (UMons) et P. Hadermann (UGent) comme représentants d’une université belge francophone et d’une université flamande ;

– O. Galatanu (Nantes), E. Havu (Helsinki) et L. Pino Serrano (Santiago de Compostela) pour trois universités européennes associées au projet.

Les partenaires prendront une série d’initiatives favorisant

  • la tenue d’activités communes : séminaires, colloques, publications ;
  • les contacts entre les chercheurs des unités membres du réseau : invitations, échanges, bourses ;
  • l’élaboration de programmes communs en vue d’une possible co-diplomation au niveau du master ou du doctorat ;
  • la recherche de débouchés éditoriaux pour les travaux des membres de la plateforme ;
  • l’appel à des fonds de recherche dans les différents pays et au niveau européen sur la base d’un programme cohérent et significatif pour des évaluateurs externes.

À côté du rattachement à leur unité de recherche institutionnelle obligatoire, le rattachement à la plateforme offre aux partenaires la possibilité de répondre facilement au critère de rayonnement international exigé également pour relever les dossiers scientifiques. Mettre un pied dans la plateforme revient de facto à rayonner internationalement, par le biais des rencontres, des programmes de recherche (PdR) en commun, des organisations de colloques… Le R dans Gramm-R renvoie au  Réseau, à l’aiRe (de recherche) et  — dernière motivation — à l’aiR donné aux partenaires (moins « coincés » dès lors dans leur rattachement unique, dont les objets, parfois obligatoirement restreints risquent de passer de mode).