En ce début du XXIe siècle la déconsidération de la linguistique structurale et le déclin des grandes écoles linguistiques confirment l’échec des approches qui prétendaient saisir et expliquer le fonctionnement des langues à partir d’un corps centralisé d’hypothèses et de mécanismes purement inhérents à la langue. Cette perte de prestige des grandes théories linguistiques va de pair avec la multiplication des recherches dans des domaines parallèles et la prolifération des points de vue sur le langage.